J'Irai marcher
sur les Toits

RÉTROSPECTIVE

Dans un texte rétrospectif, Marie Nicollas raconte avec entrain plusieurs années de J’Irai marcher sur les Toits

CHOSES LUES N° 0, PROTOTYPE

Se laisser porter par la voix et les textes

GUY LAVIGERIE DÉNONCE VERTEMENT CETTE DÉCISION DES ÉLUS

Haut Val de Sèvre: J’Irai marcher sur les Toits perd le soutien de la communauté de communes

MARCHER AILLEURS

J’Irai marcher sur les Toits retire son soutien à la communauté de Communes du Haut Val de Sèvre

LE DEPAYSEMENT COMME VOYAGE

Une réflexion locale au coeur de l’été 2020

UNE COMPAGNIE AU SERVICE DU TERRITOIRE

« l’assemblée générale de la compagnie J’Irai marcher sur les Toits s’est tenue le 8 février » (photo Bruno Hecquard)

LA LECTURE PARTICIPATIVE, MUTATION CULTURELLE

« Un aboutissement logique et original du concept de lecture participative. »
Une « œuvre de salubrité axée sur une vraie démocratisation culturelle. »

CUPIDON EST MALADE les 30 novembre et 8 décembre à Sainte-Néomaye

Parmi les huit acteurs et actrices non-professionnels en jeu, certains n’avaient jamais pratiqué le théâtre

Avec la lecture participative, la compagnie “ J’irai marcher sur les toits ” permet la diffusion d’œuvres parfois difficiles auprès du grand public

un travail inlassable sans lequel un vaste public n’aurait probablement pas pu participer à la diffusion d’œuvres d’un tel niveau

C’est dans le cadre du festival Traverse !, l’ancien Contes en chemins, que la compagnie « J’irai marcher sur les toits » donnait au musée des Tumulus de Bougon l’excellente œuvre de David Garnett (1892-1981) : « La femme changée en renard ».

Huit lecteurs, un sonneur de trompe qui scande l’intervention des chasseurs et une mise en scène de qualité faisaient de cette prestation un moment privilégié de Traverse !.

Le résultat de ce travail pédagogico-théâtral, qui a duré toute l’année scolaire a raison de deux heures et demie par semaine est impressionnant

28 jeunes acteurs épatants, spectacle époustouflant